« Un quart de siècle : de 1988 à 2013, et plus encore, au rythme d'une chronique bimestrielle dans la revue Lectures, destinée en priorité aux bibliothécaires de la Communauté française de Belgique, le romancier et poète Jacques Crickillon, dont l'œuvre a été consacrée par différents prix, parmi lesquels le prestigieux Prix Rossel en 1980, s'est attaché à recenser et critiquer les parutions nouvelles dans plusieurs domaines de la littérature dite de genre. »
Jacques Crickillon (13 septembre 1940-) est un Poète majeur de notre langue française, mais aussi un romancier et un essayiste. Licencié en philosophie et lettres, ce voyageur arpenteur des terres d'Afrique et de l'Extrême-Orient, érudit, féru d'Histoire de l'art et des religions, est le conteur d'un univers poétique aux sommets montagneux magiques dont Ferry, sa compagne de Barbarie, est la gardienne et la muse inspiratrice d'amour. Professeur d'Histoire des Littératures au Conservatoire royal de Bruxelles, étudié par de grands critiques tels Jacques De Decker, Alain Bosquet ou Christophe Van Rossom, Jacques Crickillon a été élu à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique en 1993. Citons le Prix Franz De Wever, de l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique, le grand Prix triennal de Littérature du gouvernement belge, le Palmier d'Or du Festival international de la Francophonie à Nice, le Prix Rossel 1980, le Prix Charlier-Anciaux de l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique pour l'ensemble de son oeuvre. Sa poésie, qui entretient des liens magiques avec la musique, a inspiré plusieurs fortes créations musicales au musicien Jean-Pierre Deleuze qui déclara y trouver « la réconciliation de l'homme avec la nature ».
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Dayez s’intéresse, cette fois, à la justice pénale en tant que système. Façon de boucler la boucle en examinant les traits fondamentaux de tout l’édifice, ses lignes vectrices, et ce dans un double but : d’une part, montrer que, derrière leur apparente évidence, aucun des sacro-saints principes de droit ne va de soi et qu’ils comportent tous une face cachée préjudiciable aux personnes. D’autre part, esquisser ce qui pourrait leur représenter une véritable alternative.