L’histoire de Marie est poignante, personne ne peut lui résister !
Il s'agit des origines bourguignonnes et de la formation de l'Europe.
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Marie de Bourgogne, née à Bruxelles le 13 février 1457, fut duchesse de Bourgogne, de Brabant, de Lothier, de Gueldre, de Limbourg et de Luxembourg, comtesse de Flandre, d’Artois, de Bourgogne, de Hainaut, de Hollande, de Zélande, de Namur, de Charolais et de Zutphen, marquise du Saint-Empire, dame de Frise, de Malines et de Salins.
Fille unique du duc de Bourgogne Charles le Téméraire (1433-1477), et d’Isabelle de Bourbon (1437-1465), elle passe l’essentiel de ses années de règne (1477-1482) à défendre ses droits à l’héritage de son père, disputé par le roir de France, Louis XI.
Son mariage, en 1477, avec l’archiduc Maximilien d’Autriche oriente pour près de deux siècles la géopolitique de l’Europe. Maximilien et Marie connurent un mariage heureux. Elle est la mère de Philippe le Beau, le père de Charles Quint.
Marie meurt accidentellement le 27 mars 1482 des suites d’une chute de cheval dans la forêt de Wijnendaal, lors d’une chasse au faucon en compagnie de son époux. Quelques jours s’écoulent entre sa chute et sa mort, ce qui lui laisse le temps de dicter en détail ses dernières volontés ; elle n’a que 25 ans ! Elle est enterrée en l’église Notre-Dame de Bruges.
L’histoire de Marie est poignante, personne ne peut lui résister !
Luc Hommel (1896-1960) est incontestablement un des plus grands historiens francophone. Son domaine de prédilection fut l’époque Bourguignonne. Il était membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises.
En savoir plusLuc Hommel (1896-1960) est incontestablement un des plus grands historiens francophone. Son domaine de prédilection fut l’époque Bourguignonne. Il était membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Il y a une sorte d’inconscient collectif dans notre façon de rendre la justice en nous abusant sur ce que nous faisons réellement. À preuve, sauf à céder à la naïveté, tous ceux qui contribuent à ce qu’on nomme l’œuvre de justice sont en vérité parfaitement interchangeables.