La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…
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La Renaissance
Au début, je n’ai pas répondu. J’ai laissé sonner mon téléphone. Plusieurs fois. J’étais sur la terrasse d’un des plus grands buildings de la ville. Il faisait chaud, vraiment chaud, depuis une semaine. À en crever. Je ne supporte pas la chaleur. Alors, je suis montée pour avoir un peu d’air frais. Pour réfléchir aussi. À ma vie. À tout ça…
Voici l’histoire de Veronica, une femme-flic en perdition qui va se retrouver avec une enquête dont elle ne veut pas. Mais, au lieu de l’enfoncer un peu plus, cette nouvelle mission dans la ville va la porter et lui redonner le goût de vivre.
On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Un univers glauque, mais qui permet l’humour, là où pataugent des personnages désabusés.
Providence
On s’amusait comme des petits fous. Tout le monde était très gentil avec moi. J’étais la coqueluche de la pension. J’écoutais toutes les histoires et, lorsque ça m’arrangeait, je les répétais. Parfois, même, ça me faisait gagner une pièce.
Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling…
Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…
Elle dégringole alors de la voie ferrée en un flot de paroles, de secrets, et de fantasmes.
Fabrice Gardin est l’auteur de Les inconsolables, Destin, Anna, Une rencontre comme une autre, Une vie d’infortune, L’Hôtel idéal, Compartiment non-fumeurs…
Il a adapté Candide de Voltaire, L’assassin habite au 21 de S.-A. Steeman, La Souricière d’Agatha Christie, Amen (Le Vicaire) de Rolf Hochhuth, Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde.
Il est metteur en scène (Le Crime de l’Orient-Express, Lady Agatha, La Mémoire de l’eau, La Peste…), auteur et producteur de théâtre. Il est adjoint à la direction du Théâtre Royal des Galeries.
En collaboration avec Christian Lutz, il est l’auteur des romans, Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (éditions Le Cri, 2006) et Davies et la mort qui tue (éditions Le Cri, 2009).
En collaboration avec Frédérique Massinon, il a écrit Décembre (éditions Samsa, 2013)…
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…