Samsa Editions

Fiche détaillée

Depuis je prends des trains - théâtre
par Christian Lutz

Depuis je prends des trains - théâtre
Synopsis

La fuite d’Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l’espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l’amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l’Histoire et de l’Ego, de l’absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ?

Disponibilité: En stock

Quantité
  • 18.00

Otto Silbermann est un homme d’affaires en vue à Berlin, il est contraint de fuir la barbarie à la déclaration des Nuits de Cristal par les nazis en 1938. Il va tout perdre. En trois jours : sa femme, ses affaires, ses amis, sa fortune… Comme Stefan Zweig (qui fuira quelques années plus tôt en 1934), Silbermann n’entrevoit aucune issue en Europe. Que faire ?

Il décide de prendre des trains…

 

La fuite d’Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l’espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l’amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l’Histoire et de l’Ego, de l’absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ?

 

Depuis je prends des trains est librement inspiré, traduit et adapaté pour le théâtre du roman d’U. A. Boschwitz, The Man who took trains (Hamish Hamilton, 1939 ; en français Le Voyageur). Boschwitz rédige probablement son roman au Luxembourg et/ou à Bruxelles durant sa propre fuite face aux nazis.

Depuis je prends des trains - théâtre

  • 126 pages
  • Dimensions : 140x205 mm mm
  • Type : livre
  • Couverture : softcover
  • Poids : 150 gr
  • ISBN : 978-2-87593-598-4
  • Maison d'édition : SAMSA Editions
Extrait en PDF
  • Depuis je prends des trains - théâtre
  • Depuis je prends des trains - théâtre

Dernières parutions

Ripple-Marks - roman par Jean Muno
En résumé

Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.

Le Purgatoire - théâtre par Alighieri Dante
En résumé

Le Purgatoire est construit comme une image renversée de l’Enfer, soit non plus comme un gouffre, mais comme une montagne. L’ordre des péchés est également inversé : le voyage de Dante va donc du plus lourd péché au plus léger (de l’Orgueil à la Luxure).

Chaque corniche est gardée par un ange gardien : l’ange de l’humilité, de la charité, de la paix, du zèle, de la justice, de la tempérance et de la chasteté ; dans chacune d’entre elles, en outre, les expiateurs ont sous les yeux des exemples de leur vice puni, et de la vertu opposée.