Un spectacle haut en couleurs qui retrace par une évocation moderne et des plongées au cœur de son histoire.
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« Françaises ! Je vous le répète encore, élevons-nous à la hauteur de nos destinées, brisons nos fers ! Il est temps que les femmes sortent de leur honteuse nullité où l’ignorance, l’orgueil et l’injustice des hommes les tiennes asservies depuis si longtemps ! »
(Théroigne de Méricourt, l’amazone des Ardennes.)
Un spectacle haut en couleurs qui retrace par une évocation moderne et des plongées au cœur de son histoire, le parcours extraordinaire de cette jeune fille des Ardennes partie du village de Marcourt pour devenir une égérie de la révolution française. Théroigne de Méricourt, un destin fabuleux.
Fabrice Gardin est l’auteur de Les inconsolables, Destin, Anna, Une rencontre comme une autre, Une vie d’infortune, L’Hôtel idéal, Compartiment non-fumeurs…
Il a adapté Candide de Voltaire, L’assassin habite au 21 de S.-A. Steeman, La Souricière d’Agatha Christie, Amen (Le Vicaire) de Rolf Hochhuth, Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde.
Il est metteur en scène (Le Crime de l’Orient-Express, Lady Agatha, La Mémoire de l’eau, La Peste…), auteur et producteur de théâtre. Il est adjoint à la direction du Théâtre Royal des Galeries.
En collaboration avec Christian Lutz, il est l’auteur des romans, Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (éditions Le Cri, 2006) et Davies et la mort qui tue (éditions Le Cri, 2009).
En collaboration avec Frédérique Massinon, il a écrit Décembre (éditions Samsa, 2013)…
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »