Daniel Salvatore Schiffer a décidé de recueillir dans le présent ouvrage la majeure partie de ses textes, dédiés au nom de la liberté, sans laquelle il n’est d’humanisme ni de démocratie. Ce livre est par ailleurs considéré par les Afghans eux-mêmes comme le premier de leur Résistance.
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Kaboul, capitale de l’Afghanistan, tombe le 15 août 2021 aux mains des Talibans, de fanatiques islamistes qui, prônant une obscurantiste charia en guise de seule loi, profitent de la désastreuse débâcle des troupes américaines pour y instaurer, au mépris de toute considération des droits de l’homme, du respect de la liberté, la pire des barbaries politico-religieuses.
Seul le peuple afghan, et surtout les femmes, privées aujourd’hui de leur existence même, ainsi réduites au silence sous cette prison ambulante qu’est la burqa, connait le tragique prix de pareille dictature.
Face à cette chape de plomb qui s’abat sur ce pauvre, quoique digne peuple afghan, l’auteur rédige aussitôt une multitude de tribunes publiques pour la presse francophone et internationale, aux côtés du Front National de la Résistance (FNR /NRF) Afghane : un mouvement créé, le jour-même où Kaboul s’effondre, par le jeune et vaillant Ahmad Massoud, fils de feu le Commandant Massoud.
Guidé par ses principes philosophiques et valeurs morales, Daniel Salvatore Schiffer a décidé de recueillir dans le présent ouvrage la majeure partie de ses textes, dédiés au nom de la liberté, sans laquelle il n’est d’humanisme ni de démocratie.
Ce livre est par ailleurs considéré par les Afghans eux-mêmes comme le premier de leur Résistance.
Daniel Salvatore Schiffer (né en 1957), titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies (DEA) interuniversitaire (ULB, UCL, ULG) en esthétique et philosophie de l’art, est agrégé de philosophie et professeur de philosophie de l’art à l’École Supérieure de l’Académie Royale des Beaux-Arts de Liège. Il est l’auteur d’une œuvre philosophique et littéraire impressionnante et compte parmi les grands intellectuels de notre temps : une trentaine d’ouvrages sont traduits dans plusieurs langues à travers le monde.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…