Le sexe et la fin du monde sont-ils liés ?
En 2046, de Bruxelles à Calvi, une gigantesque puanteur envahit l’Europe. La cheffe d’orchestre Rose Apari, aussi militante écologiste, enquête à ce propos et découvre l’existence d’une tribu aux mœurs particulières.
Alice (une amie de la musicienne) chronique les évènements à sa manière joyeuse et sauvage : très animale, en somme…
Il s’agit ici d’un « roman-pamphlet » dénonçant les excès de l’humanité. Il mêle thriller, étrange et poésie…
Florence Richter est criminologue. Elle a été analyste criminelle au commissariat de Molenbeek (Bruxelles), éditrice à La Renaissance du Livre, journaliste (notamment à la rubrique "Débats" de La Libre Belgique), administratrice-déléguée des Midis de la Poésie, chercheuse universitaire (U.L.B. et U. Saint-Louis-Bruxelles). Elle travaille aujourd'hui au ministère de la Culture comme rédactrice en chef de Saison.Culture, revue professionnelle de la culture en Fédération Wallonie-Bruxelles. Florence Richter est la fille de l'écrivain Anne Richter, et la petite-fille du poète et essayiste Roger Bodart et de la romancière Marie-Thérèse Bodart. F. Richter a publié un essai Ces fabuleux voyous : crimes et procès de Villon, Sade, Verlaine, Genet (2010), et trois fictions qui se présentent comme un triptyque où l'on retrouve le personnage de Rose : le conte philosophique La déesse et le pingouin (2014), le roman-pamphlet Qui est Georgette ? (2019), et l'épopée Rose étrange au Mont des Arts (2023). La fiction de F. Richter relève de l'étrange et de l'écoféminisme militant.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Les chapitres de cet essai, pourtant écrits à divers moments et dans des circonstances variées, sont reliés par un fil conducteur : un regard spirituel sur le monde, qui transcende les expressions poétiques singulières de chacun des auteurs étudiés. Un tel regard est aujourd’hui urgent et nécessaire, et la poésie est à même de le susciter. En effet, elle « offre un démenti calme, clair et ferme à ce qui verrouille le langage humain dans l’étroitesse du matérialisme, le mensonge du mercantilisme ou l’impasse du nihilisme » (Myriam Watthee-Delmotte).