Onze Bruxelles. Notre Brussel. Son objectif. Sa mission et autre chose. Beaucoup d’autres choses.
Valentin Dullac fonce. Chevauchant sa mobylette. A travers les champs et les vallons du Pajottenland. S’arrête parfois pour jeter un œil à sa carte. Pas le temps de chercher les toits de paille qui ont donné leur nom à la région ou un estaminet où savourer une gueuze. Si le divin breuvage a survécu aux années d’occupation, aux disettes, aux réquisitions…
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Onze Bruxelles. Notre Brussel. Son objectif. Sa mission et autre chose. Beaucoup d’autres choses.
Valentin Dullac fonce. Chevauchant sa mobylette. A travers les champs et les vallons du Pajottenland. S’arrête parfois pour jeter un œil à sa carte. Pas le temps de chercher les toits de paille qui ont donné leur nom à la région ou un estaminet où savourer une gueuze. Si le divin breuvage a survécu aux années d’occupation, aux disettes, aux réquisitions…
Quelques maisons. Le clocher d’une église. Une place. Pede-Sainte-Gertrude. Le jeune homme arrête son engin. S’étonne. Le village paraît désert, assoupi. Singulier contrepoint. Après les grappes et cohortes croisées en tous sens depuis Gand. Populations libérées ou réfugiées, armées en déroute. De pauvres feuilles abandonnées aux vents, tournées vers le retour ou la fuite, endimanchées d’espoir ou d’effroi.
Onze Bruxelles. Mais avant… Il a promis.
Des cris d’enfants ! Il contourne la place. Des garçons de sept à douze ans jouent au football. Hier encore, du côté de Bruges…
Philippe Remy-Wilkin naît à Bruxelles lors d’une pause capitale de ses parents entre leurs années africaines et un retour dans leur Hainaut d’origine. Il y voit la cause première de son écartèlement entre appétit du grand large et attraction des racines. Il rejoint sa ville natale pour des études philologiques, après lesquelles il organise sa vie autour de l’écriture. Avec deux invariants : l’Histoire et le goût du récit palpitant.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où « on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l’État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l’avenir ». Ambroise développe alors une terrible « chirurgie de l’âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?