L’objet de ce livre est de partager des expériences concrètes, comme des conseils tant sur des points à éviter que sur des points à acquérir quand on est partie au capital, en quelque fonction que ce soit, investisseur ou entrepreneur. Le livre commence par aborder une philosophie personnelle sur le temps et sa perspective, pour le traduire dans un rapport de gouvernance effective. En somme, le temps est un facteur crucial dans la gouvernance, influençant la planification, la prise de décision, la transparence, et la durabilité des stratégies.
Une bonne gouvernance est celle qui sait gérer le temps de manière stratégique pour maximiser les bénéfices pour la société à court, moyen et long terme. Par bénéfices, on entendra toute valeur ajoutée, de sociétale à financière, qui serait dérivée de la bonne gestion de l’entreprise.
L’auteur aborde d’abord la notion du temps, traitée sous un angle romantique et/ou philosophique. L’auteur revient ensuite sur son propre parcours et partage quelques anecdotes et expériences, avant de se lancer dans une ultime partie, qui propose un schéma de bonne gouvernance.
Jean-Marc Legrand (1968) est juriste (UCL - 92) et titulaire de plusieurs diplômes en finance, fiscalité et gestion d'entreprise. Il a été banquier d'affaires et d'investissement auprès de la Banque Bruxelles Lambert (Bruxelles, Londres, Tokyo), ING Barings (Tokyo) de 1992 à 2002 et Manager de banques privées (ING dans l'Est de la Belgique et à Bruxelles) et UBS en Belgique, de 2002 à 2012. Il est membre du conseil d'administration de plusieurs entreprises. Jean-Marc Legrand est un professionnel passionné dont l'expérience porte sur le développement d'entreprises et le redressement de stratégies face à des influences plus larges des marchés ou à l'évolution de l'environnement des parties prenantes. Il a géré de petites et grandes équipes dans des environnements culturels variés.
Il pratique indifféremment le français, l’anglais, le néerlandais, l’allemand, le japonais et l’italien.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Dayez s’intéresse, cette fois, à la justice pénale en tant que système. Façon de boucler la boucle en examinant les traits fondamentaux de tout l’édifice, ses lignes vectrices, et ce dans un double but : d’une part, montrer que, derrière leur apparente évidence, aucun des sacro-saints principes de droit ne va de soi et qu’ils comportent tous une face cachée préjudiciable aux personnes. D’autre part, esquisser ce qui pourrait leur représenter une véritable alternative.