Tel qu’il se présente, ce Guide théorique et pratique de l’art roman en Belgique, en format poche, permet au touriste désireux de connaître les témoins subsistants de l’art monumental des XIe et XIIe siècles sur le sol belge de préparer idéalement ses visites sur place. Une première partie remet en contexte les principaux monuments qu’il se prépare à voir, et rappelle brièvement les chefs-d’œuvres qui leur sont contemporains dans le domaine des arts dits mineurs (Art du laiton, orfèvrerie, travail de l’ivoire, miniature). Une deuxième partie regroupe toute une série d’informations pratiques concernant essentiellement l’accès aux églises évoquées ou non dans le texte (sites web, personnes de contact avec n° de téléphone et mail…), et les musées.
Jacqueline Leclercq-Marx, professeur honoraire d’Histoire de l’art du Moyen Âge à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), est spécialiste des époques préromanes et romanes. Elle est l’auteur de nombreux articles et de deux livres. L’un, consacré au mythe de la sirène dans l’Antiquité et au Moyen Âge, est désormais librement consultable en ligne sur le site de Koregos. L’autre, L’Art roman en Belgique. Architecture, arts monumentaux se présente comme une synthèse généreusement illustrée dont notre guide est une version à la fois abrégée et complétée par un volet pratique.
En savoir plusNoémie Divoy est titulaire d’un Master en Histoire de l’Art et Archéologie à l’ULB. En parallèle, elle se forme à diverses techniques artistiques comme la peinture, le dessin…En 2014, elle fonde l’Arbre de Forest, un lieu de création et de culture où elle organise des événements, des expositions et des ateliers pour transmettre et échanger autour de sa passion pour l’art.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Les chapitres de cet essai, pourtant écrits à divers moments et dans des circonstances variées, sont reliés par un fil conducteur : un regard spirituel sur le monde, qui transcende les expressions poétiques singulières de chacun des auteurs étudiés. Un tel regard est aujourd’hui urgent et nécessaire, et la poésie est à même de le susciter. En effet, elle « offre un démenti calme, clair et ferme à ce qui verrouille le langage humain dans l’étroitesse du matérialisme, le mensonge du mercantilisme ou l’impasse du nihilisme » (Myriam Watthee-Delmotte).