Cet essai est né d’un coup de cœur de l'auteure à la suite de la découverte du spectacle Kontakthof de Pina Bausch
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Cet ouvrage est né d’un coup de cœur de l’auteure pour le spectacle Kontakthof de la chorégraphe allemande Pina Bausch.
Il s'agit ici d'un essai qui porte sur les trois versions successives de la pièce. En effet, le spectacle fut d'abord créé en 1978 avec les danseurs de la compagnie du Tanztheater de Wuppertal. Pina Bausch décide ensuite de le reprendre en 2000 avec des seniors de « 65 ans et plus », et enfin en 2008 avec des adolescents.
En quoi l’univers artistique de Pina Bausch est-il novateur ? Comment construit-elle l’esthétique de son Tanztheater ? Comment les relations humaines sont-elles représentées dans Kontakthof ?
L'essai de Béatrice Wegnez nous fait entrer dans l’atelier de la chorégraphe, suivre les répétitions et les représentations des trois versions du spectacle, notamment par le biais d’interviews de certains danseurs et collaborateurs de la compagnie.
Cet ouvrage, désireux d’être accessible aux amateurs de théâtre et de danse, avertis ou non, n'a de finalité que de transmettre le goût pour l’univers fascinant de Pina Bausch, parmi les chorégraphes essentiels du xxe siècle.
Béatrice Wegnez est comédienne et dramaturge.
Formée au Conservatoire royal de Bruxelles en art dramatique dans la classe de Pierre Laroche, elle alterne les pièces de répertoire et les créations contemporaines.
En 2012, elle termine un Master en Arts du spectacle à l’Université Catholique de Louvain-la-Neuve (UCL, Belgique). Son mémoire consacré à Kontakthof de Pina Bausch est primé par l’université – la plus grande distinction - et par la fondation Horlait-Dapsens.
Elle se partage entre son activité de comédienne et de dramaturge en Belgique et en France où elle accompagne des auteurs, des metteurs en scène et les aide à traduire leurs univers artistiques en mots et sur le plateau.
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Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Le Purgatoire est construit comme une image renversée de l’Enfer, soit non plus comme un gouffre, mais comme une montagne. L’ordre des péchés est également inversé : le voyage de Dante va donc du plus lourd péché au plus léger (de l’Orgueil à la Luxure).
Chaque corniche est gardée par un ange gardien : l’ange de l’humilité, de la charité, de la paix, du zèle, de la justice, de la tempérance et de la chasteté ; dans chacune d’entre elles, en outre, les expiateurs ont sous les yeux des exemples de leur vice puni, et de la vertu opposée.