Quand un système de justice pervertit son propre modèle, jusqu’où doit-on lui jurer fidélité sans ruiner notre âme ?
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Quand un système de justice pervertit son propre modèle, ce qui, à l’évidence, est notre cas, jusqu’où doit-on lui jurer fidélité sans ruiner notre âme ? Et loyauté sans se déjuger soi-même ? Toutes nos qualités réunies ne nous exonèrent pas de nous poser journellement la question des fins. Nous sommes des auxiliaires de justice, c’est entendu, mais cela ne doit pas nous rendre complices d’un système dont nous désavouerions les principaux effets.
Comment garder foi en ce système ?
Bruno Dayez est avocat au barreau de Bruxelles depuis 1982. Auteur de très nombreux articles et ouvrages, il n’a eu de cesse pendant quatre décennies de se livrer à une analyse critique de toutes les facettes de la justice répressive.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.