Nous sommes le 11 octobre 1632, il est 2 h 22 du matin, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
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Tout commence au beau milieu d’une nuit d’épouvante, au cœur d’un couvent de province comme la France de l’époque moderne en compte des centaines. Une sœur, puis deux, puis dix, sont victimes de visions. C’est le Diable qui vient leur rendre visite. Bientôt, toute la congrégation se retrouve possédée, pointant du doigt un homme d’Église de la ville de Loudun : Urbain Grandier.
Alors, cet homme est-il l’incarnation du Malin ? Ou bien cette affaire de possession n’est-elle finalement qu’un coup politique, orchestré par les (nombreux) ennemis de Grandier ? Préparez-vous, la conclusion de cette affaire risque bien de vous laisser… Pantois.
Nous sommes le 11 octobre 1632, il est 2 h 22 du matin, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Antoine Charpagne est historien. À 28 ans, à l'aube d’un parcours professionnel déjà bien rempli, il vit en Belgique entoure de chevaux. Il aime les lieux et les personnages chargés d’émotions. À la suite d'un accident qui a failli lui coûter la vie. Antoine s'est révélé à l'écriture. Depuis lors, il écrit pour guérir. Chaque texte est une sorte de refuge, dans lequel il se soulage des émotions et des angoisses qui l'accompagnent dorénavant au quotidien. C’est sous le nom de Valjean, une référence à son œuvre préférée, Les Misérables de Victor Hugo, qu’il rédige de nombreuses chroniques et feuilletons littéraires historiques pour la RTBF en Belgique, dont l’Heure H.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »