Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Les chapitres de cet essai, pourtant écrits à divers moments et dans des circonstances variées, sont reliés par un fil conducteur : un regard spirituel sur le monde, qui transcende les expressions poétiques singulières de chacun des auteurs étudiés. Un tel regard est aujourd’hui urgent et nécessaire, et la poésie est à même de le susciter. En effet, elle « offre un démenti calme, clair et ferme à ce qui verrouille le langage humain dans l’étroitesse du matérialisme, le mensonge du mercantilisme ou l’impasse du nihilisme » (Myriam Watthee-Delmotte).
Cet ouvrage, très personnel, mêle intimement sciences, littérature, musique, et des observations qui rappellent parfois les récits de voyage. Au final ce livre inclassable, entremêle sciences sociales, fragments de littérature, et une philosophie où les questions seraient reines.
(préface de Arnaud Ruyssen)
À partir des observations de Charlotte Brontë, Helen MacEwan invite le lecteur à arpenter les rues de Bruxelles à travers le temps, à découvrir l’évolution de la ville et à rencontrer quelques-uns des personnages qui ont laissé leur empreinte sur la capitale et son histoire… Il faut suivre cette fabuleuse promenade à travers ce qui est aujourd’hui devenu la capitale de l’Europe…
The crisis of democracy in Brazil in the late 2010s began to materialize with the soft coup that put Dilma Rousseff out of office in 2016 and would eventually become epitomized by the political persecution of her predecessor—the then former president who is currently serving his third term—Luiz Inácio Lula da Silva…
La crise de la démocratie au Brésil à la fin des années 2010 a commencé à se matérialiser avec le coup d’État silencieux qui a chassé Dilma Rousseff du pouvoir en 2016 et a finalement été incarnée par la persécution politique de son prédécesseur – l’ancien président de l’époque qui exerce actuellement son troisième mandat – Luiz Inácio Lula da Silva.
Puis viendra le matin raconte l’histoire d’un monde qui aurait tout à gagner s’il pouvait reconsidérer notre rapport à la nature et aux animaux, en tenant compte de toute vie, pour replacer l’homme dans son environnement naturel : chacun étant le garant de l’avenir de la planète.
Je me suis immergé dans la fresque complète. Sa richesse et sa capacité à se renouveler m’ont sidéré, elles appelaient un traitement original et approfondi, j’ai sollicité l’intervention de Jean-Pierre Legrand, mon complice de maints dossiers dialogiques (Véronique Bergen, Luc Dellisse, Maxime Benoît-Jeannin, Camille Lemonnier, Charles De Coster, etc.), dans la revue Que faire ? ou sur sur la plateforme Les belles phrases… (Philippe Remy-Wilkin)
Nous sommes le 26 janvier 1944, ce matin d’hiver à Londres, Patton va devoir répondre de ses actes. Il est 8 heures, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Ce récit commence le 5 novembre 1906. Pour la première fois de l’Histoire, une femme va donner cours au sein de la faculté des sciences de la Sorbonne. Il est 10 heures, et c’est l’Heure H, de mon histoire.