Nous sommes le 4 décembre 1926, le Surrey se réveille de sa torpeur nocturne dans le fracas. Il est 7h50, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Nous sommes le 4 décembre 1926, le Surrey se réveille de sa torpeur nocturne dans le fracas. Il est 7h50, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Nous sommes le lendemain de Noël en 1900, les vagues balaient les rochers de l’île dont le phare est le souverain. Il est 11 heures, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Nous sommes le 5 mai 1821, le dernier souffle de vie quitte Napoléon Ier et les pendules de Longwood, elles, s’arrêtent pour l’éternité. Il est 17h49, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Quand un ingénieur doublé d’un philosophe rencontre un juriste doublé d’un philosophe, résultat : L’Arche et la Tour, une pièce à convictions, un spectacle tout public, pour rire et réfléchir car il est trop tard pour pleurer et que les larmes feraient encore monter les eaux.
À travers un puzzle étonnant, laissez-vous porter librement, vous serez ému, arrêtez-vous parfois au détour d’une forme pour percevoir le murmure de l’auteur au fond de vous…
Un procès athénien datant de vingt-cinq siècles
d’une étonnante actualité !
Voici une édition du « Tiers-livre de l’architecture » qui correspond à l’extrême actualité des thématiques développées depuis plus de 40 ans par son auteur…
Un jeune homme et une femme sortent d’une maison par la porte-fenêtre donnant sur une cour pavée, qui elle-même donne sur un jardin qui se fond dans l’obscurité.
C’est le soir, presque la nuit.
Venus de l’intérieur de la maison, des bruits de verres, des voix, des rires. Il s’agit manifestement d’une soirée.
Après avoir laissé passer La Femme, Le Jeune Homme referme la porte-fenêtre derrière lui, et le brouhaha en provenance de l’intérieur se fait moins fort. Il tient une bouteille de vin sous le bras, et deux verres dans la main…
Que Faire ? est un périodique à caractère littéraire, voire l’origine d’un feu sacré pour le livre.
Que Faire ? cherche avant tout à susciter la curiosité d’un lecteur de passage, indifféremment par ses textes de fiction, d’essais, de poésie, de rééditions patrimoniales, de textes politiques, économiques, de proses folles, de science fiction prospective, de recherches diverses…
Que Faire ? se veut sur la ligne du temps, sur laquelle se gravent déjà les fresques de Lascaux, de l’essai d’Oulianov en passant par le roman de Tchernychevski… Cette revue n’est dédiée à aucun genre, à aucun thème, à aucun temps, ou à tous les genres, à tous les thèmes, à tous les temps et les espaces…
Que Faire ? n’est pas représentatif de la littérature de circonstance. La littérature est toujours pour lui un engagement personnel, une création. La lecture devient dès lors un acte de création en retour. C’est au sein de cette dialectique entre l’écrivain et le lecteur que se produira peut-être l’étincelle.
Que Faire ? se forgera ainsi son identité darwinienne propre, au fil des numéros et des temps immémoriaux, sa raison d’être relèvera d’une sorte d’alliance entre le hasard et la nécessité, comme un point de fusion entre l’écriture et la lecture…
Que Faire ? prendra feu et se consumera de lui-même lorsqu’il aura atteint Farenheit 451 (232,8° Celcius).
Les livres brûlent mal.
Il y a une sorte d’inconscient collectif dans notre façon de rendre la justice en nous abusant sur ce que nous faisons réellement. À preuve, sauf à céder à la naïveté, tous ceux qui contribuent à ce qu’on nomme l’œuvre de justice sont en vérité parfaitement interchangeables.