À travers ces pages, l’auteur parle de l’Amour sous ses multiples visages, lorsque l’énergie sexuelle n’est pas maîtrisée : les pulsions, les peurs, les doutes, la jalousie, la colère ; mais pas seulement…
À travers ces pages, l’auteur parle de l’Amour sous ses multiples visages, lorsque l’énergie sexuelle n’est pas maîtrisée : les pulsions, les peurs, les doutes, la jalousie, la colère ; mais pas seulement…
Voici quelques questions et pistes de réflexions que Justine Kasa-Vubu a le courage de nous poser 60 ans après l’Indépendance. Elle esquisse des réponses avec intelligence, d’une plume sans concession. On a rarement lu un bilan aussi clairvoyant, qui donne envie d’aller de l’avant tout en rectifiant les dérives.
Nous sommes le 22 mai 1967, il est 13 h 45, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Nous sommes le 24 septembre 2013, il est 20 h 00, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Nous sommes le 23 décembre 1888, il est 22 h 30, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Nous sommes le 11 octobre 1632, il est 2 h 22 du matin, et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Nous sommes le 28 juin 1815, il est 21 h 30 dans les jardins de la Malmaison et c’est l’Heure H, de mon histoire.
Nous sommes le 25 décembre 1950. Il est tout juste 7 heures du matin, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Voici donc un bel ensemble, à deux voix ou quatre mains, comme il vous plaira, sur le thème générique, dit par un artiste du verbe, d’une Nadine-peintre, libre et dûment « sublimée »…
Essayons de retrouver ces richesses perdues devant quelques œuvres qui auront, l’une après l’autre, hanté les coulisses du travail de l’auteur. Il les présente, dans leur diversité, selon l’ordre où il les a écrites. « Écrites », puisqu’il échoit à l’esthéticien de dire pour autrui ce qu’il a vu et ressenti, à sa propre échelle. C’est un réel bonheur que de s’arrêter avec Pierre Somville sur ces images…