Un quart de siècle : de 1988 à 2013, et plus encore, au rythme d'une chronique bimestrielle dans la revue Lectures.
Un quart de siècle : de 1988 à 2013, et plus encore, au rythme d'une chronique bimestrielle dans la revue Lectures.
C'est donc de la carte en tant qu'outil et du territoire bruxellois qu'il s'agira ici, pour rendre compte de l'imaginaire urbain de nombre d'écrivains des XIXe, XXe et XXIe siècles.
Au lendemain de la seconde guerre mondiale, la paix est déjà gravement menacée. Un groupe de jeunes gens s'interroge sur l'attitude à adopter et s'engage alors résolument dans la voie de la non violence et en faveur des indépendances. L'Exposition universelle de 1958 à Bruxelles leur donne enfin l'occasion d'agir.
Ce fut pour moi l’occasion de faire le bilan d’une quarantaine d’années d’enseignement et de constater que mon expérience pédagogique m’avait amené à partager la plupart des convictions de Célestin Freinet.
Un tableau de la colonisation et de ses obsessions. Et il n'est pas insignifiant que le roman nous entraîne jusqu'à Saint-Domingue où le fils du héros reste en quelque sorte « aux portes de l'Histoire », au moment même où le dernier pan du grand empire colonial espagnol s'effondre à Cuba.
La fictionnalisation des lieux, des personnages et des discours prête à merveille à la satire.
Le grand retentissement d'un livre peut ressusciter quelquefois des personnalités et des phénomènes menacés par l'oubli.
« Une vraie lectrice ! » (Pierre Mertens)
« Energie, dynamisme, plaisir, curiosité, ténacité sont au rendez-vous de cette véritable création » (Jean Louvet)
La question de la responsabilité de Pie XII et du Vatican de ne pas avoir parlé de manière décisive face à la Solution finale de Hitler reste aujourd'hui un débat encore brûlant.
L'originalité du livre de Louis de Thanhoffer tient aussi dans le fait d'avoir réussi à fédérer dans son propos toutes les disciplines scientifiques, regroupées dans son acceptation moderne sous le simple vocable de « biologie ».