Voici une édition du « Tiers-livre de l’architecture » qui correspond à l’extrême actualité des thématiques développées depuis plus de 40 ans par son auteur…
Voici une édition du « Tiers-livre de l’architecture » qui correspond à l’extrême actualité des thématiques développées depuis plus de 40 ans par son auteur…
Il y a une sorte d’inconscient collectif dans notre façon de rendre la justice en nous abusant sur ce que nous faisons réellement. À preuve, sauf à céder à la naïveté, tous ceux qui contribuent à ce qu’on nomme l’œuvre de justice sont en vérité parfaitement interchangeables.
Maintenant que la biographie de l’affabulateur est établie, que des sherpas universitaires ont sondé les strates refoulées de l’œuvre, il est possible de présenter une synthèse de la création cendrarsienne. Blaise Cendrars, philosophe postmoderne révélera à des lecteurs, trop braqués sur les extravagances du casseur d’assiettes, et contrairement au décousu des apparences, une pensée philosophique d’une extrême cohérence.
À la recherche de la lumière par la bête décomposée est le récit fantastique d’un pèlerin qui part à la recherche de Dieu, et qui après avoir souvent côtoyé la mort, le rencontrera.
L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
En quoi pourrait consister la réparation que les victimes sont en droit d’attendre ?
Le texte que vous allez lire s’adresse non seulement à tous les acteurs politiques, culturels, sociaux mais aussi à tous les ennemis de la bêtise. Lorsque l’état se met à conclure des pactes, surtout d’excellence, on confine au paroxysme de la régression. Déjà que le mot pacte évoque le diable, deux parties qui pourraient ne pas être d’accord (et qui semblent ne pas l’être dans les faits), et puis d’« excellence », sorte de prétention qui pourrait laisser entendre qu’il existe, quelque part, une médiocrité à combattre, voire une bêtise à relever (lire à ce propos L’homme est bête et l’a toujours été, de Roger Avermaete), ce qui pointe vers une prise de conscience d’une déréliction lente – qui ne date pas d’hier.
Dans cet essai, l’autrice prend pour point de départ le constat de la disqualification et du rejet, voire de la haine des juges, du Droit et des droits de l’homme qui s’observe, depuis quelques années dans le débat public, partout en Occident, au prétexte de lutter contre le fameux « gouvernement des juges », non élus.
Daniel Salvatore Schiffer a décidé de recueillir dans le présent ouvrage la majeure partie de ses textes, dédiés au nom de la liberté, sans laquelle il n’est d’humanisme ni de démocratie. Ce livre est par ailleurs considéré par les Afghans eux-mêmes comme le premier de leur Résistance.
Pascal a écrit : « L’homme, imbécile ver de terre, mais c’est préjuger de ce lombric dont nous ne savons à peu près rien ! » Il a raison, et bien au-delà du lombric…