Gaston Compère nous offre posthume, avec Le Cœur et la Main, son ultime roman et, probablement, ce qu’il a écrit de plus beau.
Gaston Compère nous offre posthume, avec Le Cœur et la Main, son ultime roman et, probablement, ce qu’il a écrit de plus beau.
Entre le silence du dialogue intérieur et les mystères de l’amitié, le hasard d’une rencontre verra Stéphane se rendre à Paris, peut-être vers l’indépendance…
Un tableau de la colonisation et de ses obsessions. Et il n'est pas insignifiant que le roman nous entraîne jusqu'à Saint-Domingue où le fils du héros reste en quelque sorte « aux portes de l'Histoire », au moment même où le dernier pan du grand empire colonial espagnol s'effondre à Cuba.
(…) dans une écriture pure, mêlée d'humour et d'intelligence (…) un joyau de justesse et de brillant questionnement sur les rêves, la vie et la lumière intérieure…