Il est habituel de présenter James Ensor (1860-1949) comme un peintre ostendais. Sans nier l’importance de la reine des plages dans la vie du citoyen Ensor, c’est surtout ailleurs, à Bruxelles principalement, que James Ensor accède au rang d’artiste. C’est à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles qu’il se forme. C’est à Bruxelles qu’il noue les contacts déterminants pour sa carrière d’artiste. C’est à Bruxelles qu’il se fait connaître. C’est à Bruxelles qu’il expose au salon des XX dès 1884. C’est surtout à Bruxelles qu’il trouve des acheteurs. C’est dans la capitale qu’il fait imprimer ses eaux-fortes, toute sa vie durant.
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Il est habituel de présenter James Ensor (1860-1949) comme un peintre ostendais. Sans nier l’importance de la reine des plages dans la vie du citoyen Ensor, c’est surtout ailleurs, à Bruxelles principalement, que James Ensor accède au rang d’artiste. C’est à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles qu’il se forme. C’est à Bruxelles qu’il noue les contacts déterminants pour sa carrière d’artiste. C’est à Bruxelles qu’il se fait connaître. C’est à Bruxelles qu’il expose au salon des XX dès 1884. C’est surtout à Bruxelles qu’il trouve des acheteurs. C’est dans la capitale qu’il fait imprimer ses eaux-fortes, toute sa vie durant.
Grâce au train, Ensor n’est jamais loin de Bruxelles ou d’autres villes belges qui organisent des expositions. À partir de Bruxelles, Ensor rejoint facilement la ville d’Anvers ou de Liège. Grâce à un service de colis postaux performant, les œuvres d’Ensor circulent facilement en Belgique et à l’étranger, ce qui contribue à la renommée de l’artiste. La première œuvre d’Ensor achetée par l’État belge, en 1895, est destinée à un musée bruxellois. La première exposition consacrée à Ensor est bruxelloise. La plus grande rétrospective jamais consacrée à l’artiste a lieu à Bruxelles.
Le chef-d’œuvre de James Ensor, L’entrée du Christ à Bruxelles en 1889, met Bruxelles à l’honneur. Les rapports singuliers entre l’artiste et Bruxelles méritent d’être mis en lumière. C’est le propos de ce livre.
Vincent Delannoy Après Bruegel à Bruxelles (2019) et James Ensor à Bruxelles (2021), l’auteur nous propose un parcours passionnant dans l’œuvre de Bruegel, par une mise en perspective du thème de la vie et de la mort dans les Pays-Bas du XVIe siècle. Historien (KUL) et philologue (UCL), il nous révèle le monde visuel de Bruegel dans son contexte artistique, historique et culturel.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.