L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
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L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
Dans la confusion politique et culturelle de ce siècle, des vérités multiples prétendent avoir droit à l’expression. On parle d’intelligence digitalisée et artificielle, de désinformation, d’infox, d’intox, de propagande, de mensonges, de vérités alternatives. Ça caquète et ça rugit de toutes parts, voulant soutenir la véracité par la force ou la répétition. Surtout dans ce qui se vante comme l’extrême conquête de notre civilisation occidentale, la démocratie, les harangues et les verbiages sont souvent vides de contenus, des baudruches regorgeant de promesses vaines et de captations factices. De gros intérêts financiers ou des déformations idéologiques se cachent derrière un discours qui se prétend précis et neutre.
Il n’est pas étonnant de voir maint citoyen perdu dans cette cacophonie ambiante, de le voir découragé devant son manque d’information fiable et d’action cohérente. Pourtant les choses qu’il vit et qu’il sent sont dures et réelles. Elles ont des angles qui parfois font mal. La vérité existe… quelque part et de quelque façon.
Jacques Steiwer a fait des études de philosophie et de lettres à la Sorbonne, où ses référents étaient des professeurs comme Paul Ricœur, Jean Wahl, ou Vladimir Jankélévitch. Après un doctorat d’État en philosophie au Luxembourg, il a enseigné à l’École européenne de Bruxelles I. Il a dirigé l’École européenne de Varese en Italie, puis celle de Bruxelles III. Jacques Steiwer est un philosophe engagé politiquement ; il a notamment collaboré avec le théoricien marxiste Ernest Mandel à l’Institut de Sociologie de l’ULB. Il a de nombreuses publications à son actif.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Des mots à maux dépouillés de leur costume de notes, de mélodies et d’harmonies. Dépouillés de la haute couture des amis, des amies musiciens-musiciennes dont, à chaque fois, les trouvailles m’ont ébloui. Mes bafouilles montrées pour ce qu’elles sont. Qu’elles sont... long, aussi. Car mes parures littéraires aiment « le jeu de mot laid » façon Bobby toujours en pointe...
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