Vous connaissez assurément James Dean. L’un des plus charismatiques acteurs façonnés par Hollywood fut également un pilote de génie. Voilà un cocktail explosif qui ne pouvait que se révéler aux yeux du monde. Mais à destinée romantique, mort bien souvent tragique. Un accident de voiture au volant de son nouveau bolide eut raison de la fulgurante carrière du jeune homme. C’est là que commence notre histoire. Pour la bonne raison que cette voiture de course va connaître un destin des plus… particuliers. On la dit maudite, et les murmures la concernant, pressants, parlent d’un bolide tueur. Rien que ça. Alors, celle qu’on appelle presque affectueusement « Little Bastard » serait-elle une criminelle en puissance ? Accrochez vos ceintures, vous risquez bien d’être surpris…
Nous sommes le 30 septembre 1957, un policier travaillant pour la sécurité routière s’apprête à démarrer une visite guidée qui va mal tourner. Il est 14h30, et c’est l’Heure H de mon histoire.
Antoine Charpagne est historien. À 28 ans, à l'aube d’un parcours professionnel déjà bien rempli, il vit en Belgique entoure de chevaux. Il aime les lieux et les personnages chargés d’émotions. À la suite d'un accident qui a failli lui coûter la vie. Antoine s'est révélé à l'écriture. Depuis lors, il écrit pour guérir. Chaque texte est une sorte de refuge, dans lequel il se soulage des émotions et des angoisses qui l'accompagnent dorénavant au quotidien. C’est sous le nom de Valjean, une référence à son œuvre préférée, Les Misérables de Victor Hugo, qu’il rédige de nombreuses chroniques et feuilletons littéraires historiques pour la RTBF en Belgique, dont l’Heure H.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Les chapitres de cet essai, pourtant écrits à divers moments et dans des circonstances variées, sont reliés par un fil conducteur : un regard spirituel sur le monde, qui transcende les expressions poétiques singulières de chacun des auteurs étudiés. Un tel regard est aujourd’hui urgent et nécessaire, et la poésie est à même de le susciter. En effet, elle « offre un démenti calme, clair et ferme à ce qui verrouille le langage humain dans l’étroitesse du matérialisme, le mensonge du mercantilisme ou l’impasse du nihilisme » (Myriam Watthee-Delmotte).