L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
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L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
Dans la confusion politique et culturelle de ce siècle, des vérités multiples prétendent avoir droit à l’expression. On parle d’intelligence digitalisée et artificielle, de désinformation, d’infox, d’intox, de propagande, de mensonges, de vérités alternatives. Ça caquète et ça rugit de toutes parts, voulant soutenir la véracité par la force ou la répétition. Surtout dans ce qui se vante comme l’extrême conquête de notre civilisation occidentale, la démocratie, les harangues et les verbiages sont souvent vides de contenus, des baudruches regorgeant de promesses vaines et de captations factices. De gros intérêts financiers ou des déformations idéologiques se cachent derrière un discours qui se prétend précis et neutre.
Il n’est pas étonnant de voir maint citoyen perdu dans cette cacophonie ambiante, de le voir découragé devant son manque d’information fiable et d’action cohérente. Pourtant les choses qu’il vit et qu’il sent sont dures et réelles. Elles ont des angles qui parfois font mal. La vérité existe… quelque part et de quelque façon.
Jacques Steiwer, après des études de philosophie et lettres à Luxembourg et à Paris de 1958 à 1963, suit notamment les cours de Paul Ricoeur à la Sorbonne et ceux de Maurice Merleau-Ponty au Collège de France. Entre 1960 et 1962. Il sera professeur, en 1962-63 dans des lycées parisiens, notamment au Lycée Louis-le-Grand et, en 1963-64, au Lycée de Garçons à Luxemburg.
Jacques Steiwer est nommé (1964-1965) professeur de philosophie au Lycée de Garçons à Esch/Alzette, avant de rejoindre, en 1968, l’École Européenne de Bruxelles-Uccle. De 1993 à 1999, il dirige l’École Européenne à Varèse (Italie) puis, entre 1999 et 2004, celle de Bruxelles-Ixelles.
C’est dans les années ’60 que Jacques Steiwer s’est engagé politiquement et, de 1965 à 1968, il fut éditeur de La Voix, revue de l’association estudiantine de gauche Assoss. Entre 1974 et 1976, il fut secrétaire de l’Association internationale des professeurs de philosophie.
Une amitié le liait avec l’économiste marxiste Ernest Mandel, qui enseignait à Bruxelles à partir des années 1970.
Il a publié La Dialectique à l’épreuve du XXIe siècle aux éditions Samsa en 2018, et L’Union européenne, une maison bâtie dur le sable, chez le même éditeur en 2021.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Quand un ingénieur doublé d’un philosophe rencontre un juriste doublé d’un philosophe, résultat : L’Arche et la Tour, une pièce à convictions, un spectacle tout public, pour rire et réfléchir car il est trop tard pour pleurer et que les larmes feraient encore monter les eaux.