Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
The crisis of democracy in Brazil in the late 2010s began to materialize with the soft coup that put Dilma Rousseff out of office in 2016 and would eventually become epitomized by the political persecution of her predecessor—the then former president who is currently serving his third term—Luiz Inácio Lula da Silva…
En savoir plusL'œuvre de Camille Lemonnier (1844-1913) est monumentale. Romans, nouvelles, mémoires, textes sur l'art : son apport à la littérature française du tournant du XIXe siècle est considérable.
En savoir plusAvec tendresse, Otso Kautto explore cette période qui s’étale entre l’adolescence et la féminité.
En savoir plusRien sur Nietzsche est une vue de l’esprit qui permet à l’auteur d’interpréter les Trois Métamorphoses dans Zarathoustra, là où l’homme est successivement chameau et lion sous le regard inquisiteur du dragon puis enfant ou surhomme.
Il faut lire ce livre, qui ne vous quittera pas…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…