Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.

D’André Baillon à Joseph Orban en passant par Henri Michaux et Marcel Moreau, comment s’énonce la souffrance littéraire en Belgique ?
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Des messagers véloces s’étaient rendus à tous les paradis jusqu’aux plus humbles, pour y porter les invitations. Ils n’avaient pas oublié les lieux aujourd’hui désaffectés comme l’Olympe et le Walhalla. Partout ils avaient reçu le meilleur accueil, sauf dans les régions paradisiaques dévolues aux peuples d’Afrique et d’Océanie. (…)
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Voici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité.
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Les deux récits (celui du Vieil homme et la mère et celui de Boschwitz, Le Voyageur), se répondent dans l’urgence imposée par les faits. À 80 ans d’intervalle entre la traque nazie et l’euthanasie de Séléné. Face à ces deux « urgences », subsistent les questions existentielles : l’écrit, le livre, la création ; ces derniers restent seuls à offrir une catharsis vitale : la valeur de l’amitié, la faiblesse des riches, la pertinence ou non de l’Histoire et de l’Ego, le rôle existentiel des livres, de l’animal, de l’absurde, de son acceptation, le triomphe de la bêtise, et un récit de l’ultime création à quatre mains ! Que faire ?
Aristophane a accepté d’en écrire la préface.
Lisez Le vieil homme et la mère !
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
C’est avec une sensibilité sans cesse en mouvement que Edwin Zaccai partage ici des expériences de jeunesse transposées en fables où l’imaginaire le dispute à la réalité.
Le Purgatoire est construit comme une image renversée de l’Enfer, soit non plus comme un gouffre, mais comme une montagne. L’ordre des péchés est également inversé : le voyage de Dante va donc du plus lourd péché au plus léger (de l’Orgueil à la Luxure).
Chaque corniche est gardée par un ange gardien : l’ange de l’humilité, de la charité, de la paix, du zèle, de la justice, de la tempérance et de la chasteté ; dans chacune d’entre elles, en outre, les expiateurs ont sous les yeux des exemples de leur vice puni, et de la vertu opposée.