Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Deux sœurs aiment le même homme. La première, Christiane, va commettre un crime passionnel. Tandis que la seconde, Agnès Pierrefeu, jalouse et même haineuse, entre au couvent…
En savoir plus« Quelle bonne surprise ! Si je m’attendais à vous rencontrer ici ! » et elle feignit le contentement et je feignis la surprise et, quitte à m’imposer un peu plus (mais les femmes âgées ont cette supériorité sur nous, elles ont le temps, elles ont tout leur temps), je lui demandai à nouveau de me parler de « là-bas »…
En savoir plusLes révolutionnaires de 1830 qui écrivaient le « Précis
» se revendiquaient comme Belges. Remettre leurs discours aujourd’hui à l’affiche semble salutaire pour que chacun se penche sur les fondements objectifs d’un État à propos de la disparition duquel nous serons peut-être amenés à prendre parti dans un avenir proche…
Le rat est indissolublement lié au sort des conquêtes humaines.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.
Grâce à son essai, aussi passionnant qu’édifiant, l’auteur met en lumière l’écart historique qui existe entre les attentes et les actes, où l’Union Européenne a échoué à faire la preuve de leadership et de détermination au Proche-Orient.
Cet essai se termine par une réflexion humaniste sur la nécessité pour les Israéliens et Palestiniens, enfermés aujourd’hui dans le cycle infernal de la violence, d’inventer un chemin émancipateur alternatif.