Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce fut pour moi l’occasion de faire le bilan d’une quarantaine d’années d’enseignement et de constater que mon expérience pédagogique m’avait amené à partager la plupart des convictions de Célestin Freinet.
En savoir plusNous sommes le 20 avril 1954, le jeune homme qui se dissimule dans l’obscurité est animé des pires intentions. Il est 23 heures, et c’est l’Heure H de mon histoire.
En savoir plusL'œuvre de Camille Lemonnier (1844-1913) est monumentale. Romans, nouvelles, mémoires, textes sur l'art : son apport à la littérature française du tournant du XIXe siècle est considérable.
En savoir plusLa crise de la démocratie au Brésil à la fin des années 2010 a commencé à se matérialiser avec le coup d’État silencieux qui a chassé Dilma Rousseff du pouvoir en 2016 et a finalement été incarnée par la persécution politique de son prédécesseur – l’ancien président de l’époque qui exerce actuellement son troisième mandat – Luiz Inácio Lula da Silva.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…