Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Dans la vraie vie, Audrey s’inquiète de son image. Elle n’est pas très sûre d’elle. A la bibliothèque bruxelloise où elle travaille, elle est connue comme la spécialiste des biographies de femmes. Serait-elle féministe ? Ou simplement romantique ? Audrey cherche des miroirs.
En savoir plusVoici l’histoire d’une relation difficile entre deux peintres importants, Marianne Werefkin et Alexej Jawlensky. Cette relation houleuse et tragique va durer près de trente ans…
En savoir plusVoici donc un bel ensemble, à deux voix ou quatre mains, comme il vous plaira, sur le thème générique, dit par un artiste du verbe, d’une Nadine-peintre, libre et dûment « sublimée »…
En savoir plusLe grand retentissement d'un livre peut ressusciter quelquefois des personnalités et des phénomènes menacés par l'oubli.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…