Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La scène est à Blois, du 21 au 23 décembre 1588
En savoir plusQuand on connaît la méchanceté de la nature humaine, qui se montre ouvertement dans les libres relations des peuples (tandis que dans l’état civil et juridique elle se voile sous la contrainte du gouvernement), il est toutefois étonnant que le mot « droit » n’ait pas été encore tout à fait banni, comme pédantesque, de la politique guerrière et qu’aucun État n’ait encore eu l’audace de se ranger publiquement à cet avis ; car on cite toujours ingénument Hugo Grotius, Pufendorf, Vattel, d’autres encore (tous déplorables consolateurs), pour justifier une offensive de guerre, quoique leur code, rédigé sous forme philosophique ou diplomatique n’ait pas et ne peut même pas avoir la moindre force de loi (parce que des États, comme tels ne sont soumis à aucune contrainte extérieure commune). Il n’existe pas un seul exemple qu’un État ait jamais été amené par des arguments étayés sur les témoignages d’hommes de cette importance, à renoncer à ses projets.
Préface de Jacques Steiwer
En savoir plusNous sommes le 20 avril 1954, le jeune homme qui se dissimule dans l’obscurité est animé des pires intentions. Il est 23 heures, et c’est l’Heure H de mon histoire.
En savoir plusJe veux raconter le déroulement de ce scénario pour qu’aujourd’hui, et demain, qui veut sache ce qui s’est passé au cours de cette traversée…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.
Grâce à son essai, aussi passionnant qu’édifiant, l’auteur met en lumière l’écart historique qui existe entre les attentes et les actes, où l’Union Européenne a échoué à faire la preuve de leadership et de détermination au Proche-Orient.
Cet essai se termine par une réflexion humaniste sur la nécessité pour les Israéliens et Palestiniens, enfermés aujourd’hui dans le cycle infernal de la violence, d’inventer un chemin émancipateur alternatif.