Georgette Leblanc. Redécouverte en 1998 grâce à la parution de sa biographie (Georgette Leblanc 1869-1941, Le Cri, Bruxelles) par Maxime Benoît-Jeannin, celle qui fut tour à tour Monna Vanna, la Lumière de L’Oiseau bleu, Ariane, dans Ariane et Barbe-Bleue, l’héroïne fatale de L’Inhumaine, splendeur art-déco de Marcel L’Herbier, s’attira aussi l’appui confraternel de Rachilde, de Colette et de Maurice Leblanc, tout en recevant les hommages de Mallarmé et de Jules Renard. Puisse le moins connu de ses livres lui apporter aujourd’hui la reconnaissance de ses dons d’écrivain-né que ne lui contestait pas Maeterlinck.